Ils ne font pas parti du best of, mais nous ont quand même imprimé la rétine.. 1 . La mort père et filsDe Winshluss et David Walgenwitz / France / 2017 Le fils de la mort décide, plutôt que de repeindre la barrière de la maison (comme son père le lui a demandé), de jouer les anges gardiens, provoquant catastrophe sur désastre, avant que papa ne vienne remettre un peu d'ordre là dedans... Tiré d'une BD intitulée "Welcome to the death club" écrite par le même Winshluss alias Vincent Paronnaud, le co-réalisateur avec Marjanne Satrapi des multi-primés Persepolis et Poulet aux prunes. Réalisé en stop motion en pâte à modeler, les personnages sont expressifs et attachants, les situations cocasses, pour ce court dont la thématique est évidemment les rapports père fils (la morale est un chouïa conservatrice, type L'apprenti sorcier, mais insiste surtout sur l'importance des affinités qui les rapprochent). 2 . RerunsDe Rosto / France / 2018 Rosto, réalisateur et musicien du groupe Three Wreckers nous livre ici son dernier court, réflexion sur la vie et le temps qui passe. Macabre et élégiaque, réalisé en image de synthèse, il nous entraîne dans une conflagration temporelle d'un esthétisme qui n'appartient qu'à lui. La musique de son groupe, en totale harmonie avec les images, souligne la mélancolie de l'absurdité de l'existence. Interview de Rosto : No place like home, le premier court de sa tétralogie. |
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Janvier 2023
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