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court-métrange 2018 Part 2: les découvertes

26/10/2018

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Ils ne font pas parti du best of, mais nous ont quand même imprimé la rétine..

1 . La mort père et fils

De Winshluss et David Walgenwitz / France / 2017
Photo
Le fils de la mort décide, plutôt que de repeindre la barrière de la maison (comme son père le lui a demandé), de jouer les anges gardiens, provoquant catastrophe sur désastre, avant que papa ne vienne remettre un peu d'ordre là dedans...

Tiré d'une BD intitulée "Welcome to the death club" écrite par le même Winshluss alias Vincent Paronnaud, le co-réalisateur avec Marjanne Satrapi des multi-primés Persepolis et Poulet aux prunes.

Réalisé en stop motion en pâte à modeler, les personnages sont expressifs et attachants, les situations cocasses, pour ce court dont la thématique est évidemment les rapports père fils (la morale est un chouïa conservatrice, type L'apprenti sorcier, mais insiste surtout sur l'importance des affinités qui les rapprochent).

2 . Reruns

De Rosto / France / 2018
Photo
Rosto, réalisateur et musicien du groupe Three Wreckers nous livre ici son dernier court, réflexion sur la vie et le temps qui passe.
​
Macabre et élégiaque, réalisé en image de synthèse, il nous entraîne dans une conflagration temporelle d'un esthétisme qui n'appartient qu'à lui. La musique de son groupe, en totale harmonie avec les images, souligne la mélancolie de l'absurdité de l'existence.

​Interview de Rosto : 

Le court du jour : "Reruns" de Rosto from ClermontFd Short Film Festival on Vimeo.


​No place like home
, le premier court de sa tétralogie.


​3 . Less than human

De Steffen Bang Lindholm / 2017 / Danemark
Photo

Reporter très orienté (genre Bernard de La Villardière), un journaliste se rend dans un camp isolé où sont parqués les zombies guéris, mais qui n'ont pas encore le droit de retourner se mélanger à la population.
​
Belle critique de notre monde bourré de préjugés (« Go back to your grave »), traité avec humour, le film est plus profond qu'il n'y paraît et met le doigt où il faut (on a toujours peur de l'autre).
​


​4 . La station

De Patrick Ridremont / France / 2018
Photo
Deux mariés (et la demoiselle d'honneur, Louise) s’arrête à une station service (la mariée, bourrée et désespérée, doit gerber un coup). Elle s'enferme dans les toilettes, histoire de désaouler un peu. Louise rentre dans la station où elle tombe sur le pompiste en train de baiser Miss Alabama. Il lui explique que la photocopieuse magique qu'il possède permet de faire apparaître ce qu'il veut dans les toilettes. Il s'est amusé à faire apparaître de nombreuses stars (les hommes pour des selfies, les femmes pour tirer sa crampe), puis embarrassé par tous ses clones, il fait apparaître un monstre qui le débarrasse de toutes ses chimères en une nuit. Sauf que le monstre rode toujours...
Parodie des films d'horreur (la musique rend hommage à The thing), comédie noire et plutôt délirante, l'humour potache désamorce la violence de la situation. Grosse galéjade qui joue à fond avec les codes, à découvrir si vous pouvez.
Making-off pour les curieux : 

Making Of - La Station from Lola Norymberg on Vimeo.


​5 . 100% Pur Porc

De Émilie Janin / France / 2018
Photo
Blandine est ouvrière dans une usine de salaison industrielle, quotidien banal et monotone duquel elle s'échappe en rêvant à un monde coloré et fleuri, où elle joue du xylophone géant ou transforme des porcelets en canards à paillettes. Quand l'usine se fait racheter et que la cadence augmente, elle n'a plus le temps de s'évader..
Drôle et touchant, ce court dont l'atmosphère poétique n'est pas sans évoquer l'univers de Jaco Van Dormael (Toto le héros) se permet en apothéose une petite fantaisie musicale irrésistible pour dénoncer les conditions de travail des salariés d'usine (« Bye bye, merci patron »).
​

100% Pur Porc-bande annonce from respiro productions on Vimeo.


6 . Milk

De Santiago Menghini / Canada / 2018
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Un ado se lève en pleine nuit boire un verre de lait et tombe nez à nez avec sa mère, fumant devant la fenêtre. La réalité n'est pas toujours ce que les apparences laissent supposer..
Entièrement construit sur une savante montée progressive de la tension au fur et à mesure que la réalité se dérègle, ce court suit une idée simple mais bien exploitée (un peu sur le modèle du renommé Light out) et s'y tient, avec un gros travail sur l'éclairage et le cadrage. La thématique sous-jacente de la mère abusive (castratrice) amène de la profondeur au court, et les acteurs (surtout le jeune) sont très bien choisis et amènent  la crédibilité nécéssaire au fond fantastique.

Milk - Teaser from Santiago Menghini on Vimeo.


7 . Stay

De David Mickalson / USA / 2018
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Une secte de sorcières invoque un démon; quand celui-ci apparait il est distrait par les beaux yeux de Carol, qui elle-même ne reste pas insensible à son charme... Une relation glauque, meurtrière (et pleine d'humour noire) débute alors.

STAY Trailer from David Mikalson on Vimeo.

Commentaire humoristique des relations homme-femme sur fond de satanisme ringard, à prendre au second degré en dépit d'un épilogue qui fera rentrer à certains leur rire dans la gorge.


8. Hybrids

De Romain Thirion, Florian Brauch, Matthieu Pujol, Yhan Thireau / 2017 / France
PRIX MELIES
Photo
Dans un monde entièrement pollué (le notre dans peu de temps), les espèces ont évoluées, intégrant cette pollution à leurs gènes.
​
Très belles images de synthèse d'un monde sous marin réaliste (et c'est une plongeuse qui vous l'affirme), le court se base sur une simple idée, dénonçant l'altération du monde par notre mode de vie et de consommation, mais avec beaucoup d'élégance. Que le message passe...
​


9 . La mirilla

De Enrique Menzo Escamilla / Mexique / 2018
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Dans un immeuble un peu miteux, un homme somnole sur son canapé. Il est réveillé par les cris de sa voisine d'en face. En regardant par le judas, il la voit se faire violemment agresser par un homme masqué. Quand il parvient à ouvrir la porte, ils ont disparu.

Suspens crescendo sur le modèle d'une boucle de Möbius, ce court raconte une histoire absurde, impossible, mais totalement terrifiante et laisse un goût métallique en fond de bouche.


10 . Undress me

De Amelia Moses / Allemagne / 2017
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Une jeune fille un peu timide en première année d'université se retrouve dans une fête de confrérie. Elle rencontre un habitué avec qui elle passe la nuit. Dès le lendemain, elle se sent très différente et commence à peler... à vif et à mort.
Ce film nous a beaucoup fait penser à plusieurs référence, trop sans doute pour son propre bien : d'abord How to talk to girls at parties, pour le côté perdu de la jeune fille dans une fête étudiante, mais surtout Grave pour la transformation surnaturelle qui s'opère en elle. Et c'est dommage. Julia Ducourneau l'avait magistralement fait sur 1h30, Amelia Moses s'en sort bien sur 13 minutes, mais pour nous, ça sent un poil le réchauffé. A vous de juger !

UNDRESS ME - Short Horror Film from Amelia Moses on Vimeo.


11 . Frenchies

De Kuan Fu-Lin / Taïwan & USA / 2017
Photo
Arthur voit s'installer à côté de chez lui de nouveaux voisins, les Frenchy, à tête de chien. A force de regarder les reportages à la télé qui présentent ces migrants comme responsables de tous les maux (« Faut-il construire un mur ?»), il se demande si Jean-Pierre Pernaud et Cie n'auraient pas un peu raison..
Ou comment un type plutôt sympa se met à devenir méfiant et raciste. Sur un ton d'humour noir et de fantastique type Twilight Zone, cette satire sociale met les pieds dans le plat en pointant du doigt notre peur de l'étrange(r).

12 . A doll distorted

De Niall Shukla / Royaume-uni / 2017
Photo
Jane souffre d'haptophobie (peur d'être touchée). Malgré ça, elle rêve toutes les nuits de Mickaël, ancien camarade de classe qui l'obsède. Elle décide pour meubler sa solitude de commander une poupée de latex (une sex-doll grandeur nature) sur le net, tente de lui donner vie grâce à la magie noire, et c'est là que tout commence à vriller, la poupée semblant prendre vie moins pour satisfaire ses désirs que pour la menacer.
On pense à May (pour le côté jeune femme un peu dérangée qui échappe à sa solitude avec une poupée). Cependant, le court peine à installer l'ambiance à cause d'un montage un peu hystérique, qui même s'il colle parfaitement à la psychologie du personnage nous perd un peu en flash-back/flash-forward. Le twist final (que je tairais ici afin de vous laisser la surprise) sauve le film par son originalité, mais à partir de sa découverte, il aurait fallu être plus concis pour que l'impact n'en soit que plus grand..

A Doll Distorted | HD | Short Film Teaser from Niall Shukla on Vimeo.

NB : ce tic de réalisation un peu exaspérant à mon goût doit être une marque de fabrique de l'auteur, à en juger par un autre court, plus expérimental, Guilt

13 . Balloon dating

De Cyrille Drevon / 2018 / France
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Version déjantée du speed dating, chaque participant a un ballon à la place du visage et le futur partenaire (ou pas) a neuf chances pour y dessiner un visage qui convienne à l'autre..
Court créé à l'occasion de la Saint-Valentin, Cyrille Drevon tourne en  dérision nos pathétiques tentatives de séduction et la panique qu'elles provoquent avec beaucoup d'humour !

14 . Le portrait 

De Gabriel Allard, David Golay, Anahi Tennenbaum / France / 2017
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Saint-Pétersbourg, début du siècle, un jeune homme sombre, reclus et dépressif est amoureux à se damner d'une femme représentée sur un tableau. Tellement épris qu'il ne conçoit pas que la beauté de cette peinture puisse se faner avec les années. Il pousse la passion jusqu'à dévorer le tableau, cherchant ensuite toute sa vie à le recréer.
Photo
On pense à Edgar Alan Poe (Le Corbeau) pour la démence du personnage et sa passion destructrice. Le graphisme, crayonné, amène une mélancolie qui sied parfaitement à cette histoire d'adoration allant jusqu'à l'aliénation mentale.
​

15 . Aprieta pero raramente ahoga

De David P. Sanudo / Espagne / 2017
Photo
Daniel passe un entretient de travail avec Cosme, il devra s'occuper de Sigfried, son chien. Mais celui-ci peut être désobéissant et Cosme veut être sûr que Daniel a bien intégré toutes les instructions pour que la garde se déroule le mieux possible.​
Le titre se traduit littéralement par « ça serre mais étouffe rarement ». Il vient surtout d'un proverbe hispanophone « Dios aprieta pero no ahoga » qui signifie que Dieu ne veut pas la mort du pêcheur, et Cosme, dans la relation de pouvoir qu'il met en place avec Daniel, l'obligeant à se comporter comme un chien pour les démonstrations, se prend absolument pour Dieu... Chronique d'une folie singulière.

16 . Un dia en el parque

De Diego Porral / Espagne / 2017
Photo
Un papy raconte à son petit fils comment était la vie quand il était jeune... c'est toujours mieux avant.
Jolie réflexion sur nos a-priori face à la modernité, ce court (court, 2'55) se moque de notre capacité à affirmer qu'on « n'aime pas beaucoup l'attitude de ces p'tits jeunes » (Abraham Simpson).
​

17 . Bendito Machine VI

De Jossie Malis Alvarez / France / 2018
Photo
Un parallélépipède tombe du ciel sur une tribu d’australopithèques. Il vibre comme un téléphone portable et finit d'ailleurs par en distribuer un à chaque élément du clan. Ceux-ci s'occupent donc en se prenant en selfies, en twittant... et en ne faisant plus que ça pour occuper leur journée. Parallèlement, nous suivons les aventures d'une soucoupe volante qui devient un animal mécanique et subit de nombreuses avanies...
​
Très beau film en ombre chinoises numériques, épisode final d'une série sur la thématique de l'évolution des espèces et de notre rapport à la technologie, qui simultanément nous aliène, nous transforme et nous libère.
​

Bendito Machine I - Everything you need from Zumbakamera on Vimeo.

Bendito Machine II - The Spark of Life from Zumbakamera on Vimeo.

Bendito Machine III - Obey his commands. from Zumbakamera on Vimeo.

Bendito Machine IV - Fuel the Machines from Zumbakamera on Vimeo.

Bendito Machine V - Pull the Trigger from Zumbakamera on Vimeo.

18: deer boy

De katarzina Gondek/Pologne/2017
Photo
Un enfant nait avec des bois de cerfs sur son front, ce qui n'est guère du goût de son père, un chasseur austère et brutal, qui va le forcer à renier sa nature. Jusqu'au drame.
Fable intemporelle sur le conflit des générations, la violence du patriarcat et l'acceptation des différences (rien de nouveau sous le soleil donc), Deer Boy bénéficie d'une photographie extrêmement soignée qui contribue à l'atmosphère crépusculaire de l'histoire, renforcée par le mutisme des personnages, enfermés dans leur solitude. Grandir dans la haine et la peur, dépérir par manque d'amour, tuer ou être tué, tel est le destin assigné à ceux qui ne vivent que dans les rapports de force.

Un film envoûtant, encore qu'un peu abscons, qui lorgne du côté des grands maîtres polonais et russes, mais qui manque d'un je-ne-sais-quoi pour vraiment emporter l'adhésion. La faute sans doute à un traitement trop sec, trop désincarné, pour susciter l'empathie. A voir quand même pour la beauté de la mise en scène.

Deer Boy - Sundance 2018 Teaser from Jarek Piekarski on Vimeo.

19: the jump

De Andy Sowerby/Royaume-Uni/ 2018
Photo
Une astronaute est envoyée seule aux confins de l'espace pour une mission à long terme. Les messages qu'elle échange avec son amant constituent le dernier lien qui la relie à la Terre, et à l'espoir d'une vie à son retour. Mais les lois de la relativité sont implacables, et la vie toujours trop courte.
Très joli film qui modernise un thème antique inspiré des fabliaux médiévaux (les amants maudits) en l'adaptant à la sauce SF en empruntant aux récents Gravity (pour le look "Hard Sci-fi) et Interstellar (dont il reprend une partie de la trame dramatique).

Mélancolique et élégant, interprété par des acteurs habités, The Jump réussit en moins de dix minutes à résumer le drame existentiel de la condition humaine face à l'immensité de l'univers, et magnifier l'importance des sentiments, lorsque tout est perdu.
​

The Jump - Trailer from Andy Sowerby on Vimeo.

20: cerulia

De Sofia Carrillo/2017/Mexique
Photo
Cerulia revient au pays pour faire ses adieux, mais ses souvenirs d'enfance la plonge dans une rêverie fantasmagorique d'où surgissent doubles imaginaires, animaux empaillés doués de vie et secrets douloureux enterrés dans une serre.
​
Il suffit de jeter un œil aux photos ci-dessus pour capter l'essence de Cerulia: marionnettes creepy évoluant dans un monde défunt (arbres morts, maison délabrée, couronnes mortuaires, animaux empaillés), ce film se place d'emblée sous le parrainage du maître de l'animation tchèque Jan skankmajer, dont l'auteur reprend les techniques d'animation et l'atmosphère à la fois enfantine et angoissante, et de Lewis Carroll.

Il s'en dégage une ambiance propre aux cauchemars, mystérieux, illogiques, et pourtant lourd d'un sens dissimulé au rêveur/spectateur jusqu'à la dernière seconde. A la fois envoutant et glaçant, Cerulia est une merveille d'animation et une usine à cauchemar pour ceux (dont je suis) que les poupée de cire font flipper.


TRAILER "CERULIA" from Sofia Carrillo on Vimeo.

21:framed

De Marco Jemolo/2017/Italie
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Un homme interrogé dans un poste de police confie son témoignage à un policier sceptique: il s'est échappé d'un endroit cauchemardesque où il était retenu prisonnier, forcé de participer à des mises en scène incompréhensibles avant d'être jeté avec d'autres compagnons d'infortunes dans un charnier.

Tel David Vincent, il tente de persuader un monde incrédule que des entités malveillantes s'emparent de pauvres hères comme lui à des fins mystérieuses et néfastes, en vain: la main du Destin, en l'occurrence celle de l'animateur, ne l'a jamais lâché...
Fable tragi-comique sur la condition humaine et le libre-arbitre, Framed est un petit bijou "Méta" qui se rie gentiment de l'absurdité de l'existence. Nous sommes tous des marionnettes!
​

22:no wave

De Stéphane Lapointe/2017/Canada
Photo
Un insomniaque branche sa radio sur une chaîne diffusant les bruits de l'océan pour trouver le sommeil, lorsque surgit du poste les cris d'un homme en train de se noyer. Il appelle aussitôt la station pour les alerter. il n'aurait pas dû...
Photo
Basé sur un concept très simple (un homme, un téléphone, un drame) construit comme un épisode de Twillight Zone, ce court très efficace exploite toutes les ficelles du thriller paranoïaque jusqu'au twist un peu attendu mais logique de la boucle bouclée.

Reposant autant sur le talent de son interprète que sur une mise en scène au cordeau, No wave s'inscrit dans la tradition classique du court-métrage à chute: unité de lieu, de temps et d'action, au service d'une idée simple et concise. En la matière, un cas d'école.

No Wave / Teaser from Stephane Lapointe on Vimeo.


Et on s'arrête là pour cette sélection, déjà bien fournie, mais qui vous donne un aperçu de la qualité générale. On aurait pu continuer comme ça pendant des pages et des pages mais il faut savoir s'arrêter, quitte à laisser sur le bas-côté des films intéressants (désolé "Some mortal tales", "L'écorce des choses", "Shadow of the bride"). Adesso basta, comme dirait Innana; si avec tout ça vous n'en avez toujours pas assez, consultez!
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